Le Pub de l’Observateur

Déjà 7 ans, 6 mois et 20 jours depuis mon dernier article… Tant de temps a passé et tant de choses ont changées pour moi. Par où commencer ?

Longtemps négligée au profit de la seule image, la musique participe aujourd’hui grandement à l’expérience du joueur. Il est désormais courant que le son, le rythme et parfois même la mélodie constituent une partie plus ou moins importante des mécaniques de jeu. J’ai donc décidé de sélectionner quelques jeux et de présenter leurs bandes originales, que l’on peut toutes écouter gratuitement et en toute légalité sur Internet. Il n’y a pas de liens vraiment précis entre les différents titres que j’ai choisi, néanmoins les musiques présentées ci-dessous expriment toutes, dans des proportions variables et de différentes manières, le mystère et l’étrangeté.

Good morning lecteur ! Comme vous pouvez le constater, le blogue a (enfin) le droit à une petite mise à jour ce qui n’est pas du luxe après une absence de plus de un an.

Trente ans après les événements des deux premiers volets de Golden Sun, c’est une aube bien triste qui se lève sur le monde de Weyard… Vous souvenez-vous ? À la fin du second tome, le phare de Mercure avait été allumé permettant l’apparition du Soleil d’Or, source de l’Alchimie, et accessoirement la venue d’un nouvel Âge d’Or.

Il y a de cela tout juste un an, naquît sur Facebook une petite page anodine intitulée Le Dixième Art : le jeu vidéo. Cette page au nom bien pompeux n’avait pour ainsi dire pas grand chose qui pu la démarquer de la centaine d’autres pages parlant de jeu vidéo présentes sur le célèbre réseau social. Et pourtant…

Les plus beaux trésors sont sans doutes toujours ceux trouvés par hasard. Une vieille malle, une boîte longtemps oubliée ou en encore un tiroir poussiéreux peuvent révéler de très bonnes surprises à celui qui se donne la peine de chercher. C’est ainsi que j’ai pu découvrir Golden Sun il y a quelques années, enfoui au milieu d’une masse d’autres titres dans l’armoire à jeu d’un de mes cousins. Celui-ci, dans sa grande bonté, me l’a aussitôt prêté. Je ne l’ai plus jamais lâché depuis.

Lorsque l’on demande aux aficionados du genre de citer leur jeu vidéo de rôle préféré un nom revient invariablement. En effet, pour de nombreux joueurs (dont je fais bien évidemment parti), Chrono Trigger reste la référence incontestable du genre. Pourquoi vous demandez-vous ? Qu’est-ce qui différencie Chrono Trigger de l’immense masse des excellents JDR japonais des années 90 ?

Toute aventure digne de se nom se doit commencer par ces mots. Celle-ci ne fait pas exception à la règle…